Un genre nouveau pour moi (vers libres) : bouleversant d'une poésie inouïe, tout en douceur et avec une certaine nonchalance orientale, une plongée dans l'Histoire d'un pays, de ses hommes soumis, maltraités, martyrisés. L'horreur dans ce que l'homme a de plus abject raconté tout en douceur, sous le soleil torride, accompagné d'olives et de pain, comme une longue mélopée... Très beau !
Quel magnifique livre ! Merci d’en avoir proposé la lecture. Quel tour de force de raconter l’horreur avec tant de poésie et de délicatesse. Ce livre m’a profondément émue.
Les lecteurs américains ne connaitront malheureusement jamais Mahmoud. La faute au wokisme et à ses dérives. Malgré l'enthousiasme de l'éditrice de Penguin Random House, le comité de lecture a mis son veto : pas question qu'un homme blanc européen se glisse dans la peau d'un vieil homme syrien le temps d'un roman. Tout comme la Néerlandaise blanche Marieke Lucas Rijneveld ne pouvait traduire les poèmes de l'Américaine noire Amanda Gorman. Chacun chez soi dans son genre et sa couleur.
Heureusement que Flaubert n'a pas connu le wokisme : nous n'aurions jamais rencontré Madame Bovary.
Belle plume de l'auteur, magnifique récit, mais (parce que oui, il y a eu n mais pour moi), la lecture en vers libres n'est pas celle que je préfère... 😉
Un genre nouveau pour moi (vers libres) : bouleversant d'une poésie inouïe, tout en douceur et avec une certaine nonchalance orientale, une plongée dans l'Histoire d'un pays, de ses hommes soumis, maltraités, martyrisés. L'horreur dans ce que l'homme a de plus abject raconté tout en douceur, sous le soleil torride, accompagné d'olives et de pain, comme une longue mélopée... Très beau !
Quel magnifique livre ! Merci d’en avoir proposé la lecture. Quel tour de force de raconter l’horreur avec tant de poésie et de délicatesse. Ce livre m’a profondément émue.
L'article du Soir mentionné par Isabelle: Chacun chez soi!
https://www.lesoir.be/432182/article/2022-03-24/chacun-chez-soi (il faut être abonné)
Les lecteurs américains ne connaitront malheureusement jamais Mahmoud. La faute au wokisme et à ses dérives. Malgré l'enthousiasme de l'éditrice de Penguin Random House, le comité de lecture a mis son veto : pas question qu'un homme blanc européen se glisse dans la peau d'un vieil homme syrien le temps d'un roman. Tout comme la Néerlandaise blanche Marieke Lucas Rijneveld ne pouvait traduire les poèmes de l'Américaine noire Amanda Gorman. Chacun chez soi dans son genre et sa couleur.
Heureusement que Flaubert n'a pas connu le wokisme : nous n'aurions jamais rencontré Madame Bovary.
cf. article du Soir du 24/03/22
Belle plume de l'auteur, magnifique récit, mais (parce que oui, il y a eu n mais pour moi), la lecture en vers libres n'est pas celle que je préfère... 😉