Quel livre! Une écriture déstabilisante, à l'image du narrateur! Une lecture en apnée, une plongée vers une noirceur inimaginable....et pourtant...une pépite à découvrir!
L'auteur est chroniqueur judiciaire....cela laisse supposer que la réalité est probablement moins loin qu'on ne le croit.
Le reporter Dimitri Rouchon-Borie signe Le Démon de la Colline aux Loups, premier roman sidérant, nourri de dix ans de fréquentation des prétoires, pour dire – sous la forme fictionnelle cette fois-ci – les stigmates de l’indicible et le pouvoir rédempteur de la voix libérée.
L’auteur, chroniqueur en affaires judiciaires, se penche sur le destin d’un homme en prison, qui revient sur son destin. Un héros à l'enfance massacrée, inexistante, qui se déroule pourtant en famille. Mais une famille qui n’offre que douleur, violence, et absence de reconnaissance. Ses parents ne l’ayant jamais nommé, c’est en allant à l’école que le héros découvre qu’il possède un prénom, Duke.
Le roman est emprunt du quotidien de l’auteur, de la douleur qu’il côtoie dans les tribunaux, où l’on juge des faits divers, qui émanent du manque de chance dans la vie. Mais l’auteur s’est attelé à rendre de l’humanité à Duke.
Le roman s'est nourri de cette profession de journaliste judiciaire, il…
Quel livre! Une écriture déstabilisante, à l'image du narrateur! Une lecture en apnée, une plongée vers une noirceur inimaginable....et pourtant...une pépite à découvrir!
L'auteur est chroniqueur judiciaire....cela laisse supposer que la réalité est probablement moins loin qu'on ne le croit.
Coup de coeur!
Le reporter Dimitri Rouchon-Borie signe Le Démon de la Colline aux Loups, premier roman sidérant, nourri de dix ans de fréquentation des prétoires, pour dire – sous la forme fictionnelle cette fois-ci – les stigmates de l’indicible et le pouvoir rédempteur de la voix libérée.
Les Inrock, 15/03/2021
Prix Première, le 04/03/2021, RTBF.be
L’auteur, chroniqueur en affaires judiciaires, se penche sur le destin d’un homme en prison, qui revient sur son destin. Un héros à l'enfance massacrée, inexistante, qui se déroule pourtant en famille. Mais une famille qui n’offre que douleur, violence, et absence de reconnaissance. Ses parents ne l’ayant jamais nommé, c’est en allant à l’école que le héros découvre qu’il possède un prénom, Duke.
Le roman est emprunt du quotidien de l’auteur, de la douleur qu’il côtoie dans les tribunaux, où l’on juge des faits divers, qui émanent du manque de chance dans la vie. Mais l’auteur s’est attelé à rendre de l’humanité à Duke.
Le roman s'est nourri de cette profession de journaliste judiciaire, il…